I - Première attaque

Le mal existe sur terre. Depuis longtemps se livre un long combat entre le bien et le mal, le bien essayer de sauvegarder toute les bonnes choses sur terre, le mal, essayant de les détruires. Il existe un monde, loin de la terre, et contrairement à celle-ci, ou cette équilibre est préservé, et ou le bien continu de triompher sur le mal, même si le mal ne peut pas être totalement éliminé puis qu'il est à la base de l'amour. Si cet équilibre est encore aujourd'hui, c'est à la suite d'une terrible lutte qui s'est déroulé il y a lontemps, très lontemps...

- Tous les hommes disponibles sur les murailles ! Vite ! Allez ! Allez ! Allez ! L'elfe était sur son cheval et criait dans toute la cité ses paroles pour appelez les hommes au combat. Halgas avait cette particularité de pouvoir soulever les masses, et d'une seule parole il soulevait toute une armée pour une cause. C'est pour cela qu'il était aujourd'hui Capitaine, le chef de toute l'armée elfe de l'Est les montagnes mortes.
- Capitaine, ils lançent une attaque sur le coté nord également !
- Merçi Gloin... Fait préparer la cavalerie, et tiens mon cheval près, dit t-il en sautant de celui-ci et en courant vers les murailles.
- Nous sommes avec vous capitaine...
- Archez ! Parez !
La masse sombre n'était qu'a quelques centaines de mètres de la cité. Les deux colones de créatures qui venaient du Nord et de l'ouest ne firent plus qu'une, et dans l'obscurité de la nuit, on pouvait distinguer milles point sintillant de la lumière des étoiles se reflétant sur les armes et armures des orks.
- Attendez ...
- Capitaine...
- J'ai dit attendez... Halgas sortit son épée et la pointa vers le ciel.
- Capitaine !
- Tirez ! cria le capitaine en abaissant sa lame. Milles flèches partirent alors vers les assaillant, toutes ou presques touchant les dix milles bêtes qui continuaient de s'approchait. Continuez de tirez jusqua ce que je vous donne le signal d'arrêt, Dit Halgas en descendant vers la cavalerie qui attendait en bas.
- Capitaine, c'est près !
- Merci ... N'aillez pas peur ! Nous nous battons pour le bien... Et le bien triomphe toujours... Chargez ! Cria Halgas à ses 200 hommes avant de galloper à toute vitesse vers les orks qui n'étaient plus que cinq milles...

Pendant ce temps...

La troupe d'elfes avancait discrètement dans la forêt, ils savaient qu'avec la créature, on avait pas le droit à l'erreur. La troupe s'arrêta nette devant une grotte sombre et se cachèrent derrière un buisson, le capitaine elfe de la troupe, Helder, pris la parole:
- Maintenant il n'y a plus qu'à attendre qu'il revienne chez lui, surement est-il parti chasser ou ...
- ou ... ou quoi ? Bégaya Mégoles, son second
- Simplement tuer pour son plaisir ...
Helder avait les poings serrés, la terrible soirée d'il ya une semaine repassait encore dans sa tête ...

Il revenait de la chasse, il avait ramené un véritable festin avec le grand chevreuil qu'il avait abbatu ! En revenant il vit tout le monde regroupé sur la place de son village, il arriva et vit un vieil homme sortir du brouhaha:
- Que ... Que c'est-il passé ?
- Elle est repassée...
- L ... La créatu ...
- Ne dites rien, le coupa le vieil homme, voyez plutôt! Il montra du doigt, ce qui se tenait au coeur de la foule
Helder poussa tou le monde et vit les corps, abominablement disloqués et démembrés, de sa femme et de son jeune fils ... Il pleura, hurla, jura de se venger et de tuer cette créature!

- Helder! l'appela Mégoles, celui-ci retrouva brutalement ses esprits, je crois qu'elle vient
En effet on pouvait distinguer l'envol des oiseaux, pris de panique, les plantes en train de faner, et des hurlements à vous glacer le sang ...
- Tenez vous près! Ordonna le jeune elfe
Tous déguennèrent leurs arcs, les hurlements prenaient de plus en plus de volume, cette fois c'était toute la forêt qui commencait à paniquer, le ciel de vennait noir
- Il ... Il est en colère ! pleurnicha un des elfes
- La ferme ! lui cria fermement Helder

Soudain un calme lourd retomba, chaque elfe se demanda ce qu'il se passait, quand soudain une nuée de corbeaux se jeta à toute allure sur l'un de elfes, il était en train de se faire dévoré vivant!
- Z ... Zut! Il est ici! cria Helder
Un homme habié de noir et à la peau décompsée décendit alors de l'arbre, c'était la fameuse créature, et c'était aussi la première fois que Helder la voyait!

Le monstre leva sa main immonde, et tous les elfes restant, à part Helder et Mégoles, tombèrent pris à la gorge par une grave maladie
- Q ... Qu'est-ce que tu leur a fait ?! Hurla Helder
- Tuber ... culose ... Répondit difficilement la bouiche désarticulée de la créature
-S ... Sale monstre!! Cria Mégoles qui se mit à l'attaquer
Il déguéna son épée, et sauta sur le monstre, il l'avait transpercé en plein coeur, mais soudain, celui-ci pris l'épée de Mégoles, et l'envoya cette fois dans la gorge de son prédecesseur.

- NoOoOoOoOn !!!
Helder était desespéré! Il n'avait jamais eu aussi peur de l'echec, il était tellement térrorisé qu'il en pleurait.
- Tue moi ! Sale monstre ! Helder se mit à genou, il devait mourrir et rejoindre sa famille
- Non!! Dit fermement la créature
- Hein???
- Tu me servira ... Et tu benefiera de certains pouvoirs ... Tu répendra le chao en mon nom ...
- Je m'y refuse!!!
- Tu ne peut t'opposer à ma volonté !!

Helder se réveilla soudain, il était appelé par son maitre
Comment pouvait il le servir? Etait il si fort que cela? Son pouvoir était il si grand? Helder se liberera t-il un jour du pouvoir de son maitre?

Deobos chevauchait vers les terres des elfes à toute allure, sa longue cape noire flottant derrière lui. Asiik, son maître, lui avait confié un message, accompagné d'une petite fiole verte, qu'il devait remettre à Elendel, un grand mage elfique. Le jeune sorcier faisait route depuis deux semaines. Il avait croisé plusieurs groupes d'orks, et il ne fut donc guère étonné d'en rencontrer à nouveau à l'approche du territoire des montagnes mortes.
- Hey! R'gardez c'qui vient! grogna l'un d'eux.
- Un casse-dalle! fit un autre.
- Descends d'là! ordonna un troisième ork.
Deobos soupira et mit pied à terre. Les orks eurent un air satisfait.
- Si vous ne voulez pas mourir, vous feriez bien de me laisser passer, fit-il d'un ton calme.
- Quoi? lança un ork. Tu t'prends pour qui? Tuons-le!
Deobos soupia à nouveau et fixa la dizaine d'orks qui le chargaient en hurlant. Il tendit le bras et lança une boule de feu sur un ork qui tomba immédiatement sur le sol, carbonisé. Les autres n'y prêtèrent guère attention. Le sorcier dût donc abattre la foudre devant eux pour qu'ils s'arrêtent enfin, effrayés.
- Je ne plaisante pas, reprit Deobos d'un ton beaucoup plus froid. Ceci est votre dernière chance. Laissez-moi passer.
Mais les orks ne l'écoutèrent pas et chargèrent une nouvelle fois. Deobos lança un onde incandescente et les orks prirent alors feu, hurlant un court instant avant de s'effondrer à leur tour.
- Je me suis bien amélioré! constata Deobos avec un sourire avant de remonter à cheval et de reprendre son chemin.

Il fallait traverser l'est des montagnes mortes pour accéder aux terres des elfes, et c'est ainsi que Deobos entendit de nouveaux grognements caractéristiques des orks. Mais cette fois, rien à voir avec une dizaine ou une vingtaine de ces immondes créatures. Il y en avait bien plus. Des milliers sans doute. Poussé par la curiosité, Deobos se dirigea vers le champ de bataille et vit en contrebas un groupe de cavaliers téméraires charger une véritable marée de têtes sombres qui recouvraient toute une zone aux abords d'une muraille.

Les orks se préparèrent à l'impact de la charge des elfes, soudain, à quelques centaines de mètres d'eux, Halgas donna l'ordre de stopper, et des flèches venant de la cités venèrent s'en ajouter de nombreuses venant de la forêt à l'est des orks. Puis, les cavaliers eux mêmes se mirent à tirer à l'arc, et les orks désorganisés, commencèrent à fuir.
- Bien joué cette divertion capitaine ! cria un des elfes.
- On ne peut laisser les dernier orks s'enfuir.. Sonne le cor ! L'elfe s'executa et mes flèches s'arrêtèrent de tomber, puis Halgas mena la charge, et cette fois, il ne l'arrêta pas. la force de l'impact tua la moitié de la centaine d'orks restant, et les autres furent tués facilement.
Halgas mis pied à terre et se mis à genous, pris une poignée de terre et la laissa glisser entre ses doigts en pronoçant ses paroles en viel elfique :
- Avodan atichiba nas la narimenic... Sur ses mots, tous les hommes mirent pie à terre, enlevèrent leur casque et baissèrent la tête, puis ce fut le silence pendant toute une minute. Puis les elfes commencèrent à entasser les cadavres des orks pour les bruler, mais pas comme on brule un ennemis, ce fut une sorte de cérénomie, on eu presque cru que les orks étaient des leurs. Halgas leva la tête et apperçut un homme en haut de la coline. Ses yeux d'elfe virent qu'il sagissait d'un sorcier, et d'après sa tenue, un apprentit.

Puis, halgas aida ses compagnons et tous rentrirent dans la cité, le sorcier ne bougea pas jusqu'a ce que tout soient dans la ville.

- Laissez-le entrer, fit Halgas au jeune sorcier qui se présentait aux portes de la cité elfe.
- Mais capitaine, tout visiteur doit d'abord être... répliqua un des gardes
- C'est un jeune sorcier, apprentit de Asiik... C'est un homme de confiance, alors laissez le entrer !
- Bien Capitaine ! Répondit le garde en rendant les affaires au jeune homme.
- Merci, répondit ce dernier. Il avanca vers Halgas, tenant son cheval par les rennes.
- Occupez vous de son cheval s'il vous plait, demanda Halgas à un des gardes.
- Merçi, dit poliement le sorcier à celui-ci.
- Je suis le capitaine Halgas, chef de l'armée elfe
- Et moi je m'appel Deobos. Connaissez vous mon maître, Asiik ?
- Non, pas personellement... Mais sa réputation n'est plus à faire. J'ai reconnu le blason sur ta chemise, et ton maitre est quelqu'un de confiance, amis des elfes depuis de longues années.
- J'ai un objet à remettre à Elendel, dit Deobos alors qu'ils montaient des escaliers en direction du temple.
- Le grand mage est indisponible pour le momment, mais je vais t'installer le plus confortablement possible en attendant qu'il puisse te reçevoir, dit Halgas amicalement.
- C'est très gentil à vous capitaine... Pourquoi cette attaque d'ork ?
- Et bien en fait...
- Capataine ! Cria un elfe posté sur la tour, interrompant Halgas.
- Qu'il à t-il, demanda ce dernier en arrivant au pied de la tour.
- Les orks... Ils lançent une nouvelle attaque ! Répondit le guetteur
- Combien ? demanda Halgas qui essya de ne pas paraitre paniqué - néanmoins Deobos perçut de l'inquiétude dans la voix du Capitaine elfe-
- Cinq milles...
- Ils lançent deux vagues... Préparez vous au combats ! Cria Halgas en se dirigeant vers les murailles.
- Je peux vous aidez, proposa Deobos
- Toute aide et la bienvenue... Cette fois, on va devoir se défendre d'ici, impossible de charger, et nous n'avons pas le temps de nous redeployer dans la foret... Allez chercher les lances et distribuez les ! Ordonna le capitaine à quelques elfes qui s'executèrent imédiatement
- Ca arrive souvent plusieurs charges dans la même journée... Non, et c'est inquietant... Nos hommes sont fatigués... Nous ne tiendrons peut-être pas, murmura Halgas en sortant une flèche, alors que de nouveau des milliers d'orks se lançèrent à l'assault de la cité elfe.

Helder ...
- O... Oui ...
La cité elfe ...
- Que ... Que dois-je faire ?
Prête main forte aux orks ... Détruit là jusqu'à la dernière pierre ... Et tues les tous jusqu'au dernier elfe ...
- B ... Bien ...
Sur cet échange de paroles télépathiques, Heleder se lanca à travers la forêt avec agilité, il devait attendre son but, la cité elfe, tel était l'ordre qu'il avait recu! Helder avait beau se battre dans son coeur, mais son esprit et son corps ne l'obéissait plus! Il devait se battre contre sa propre race!

Quelques minutes plus tard, Helder arriva et vit un tas d'ork entassé,
- Maitre, les orks se sont fait laminés par les elfes ! Que dois je faire ?
Attendre ...
Helder se cacha à la lisière de la forêt, gardant la cité elfe en vue, il remarqua alorq l'arrivée d'un homme à la cité
- C'est un sorcier ... remarqua-t-il
... Un Sorcier ? ...
- Oui ...
Son blason ...
-C'est celui de Asiik, c'est surement son apprenti!
Oublie les elfes ... Tue le...
- B ... Bien!
C'est alors que, sa phrase à peine terminée, un horde de 5000 orks foncèrent vers la cité, ne faisant pas attention à lui. C'était le moment d'attaquer , il sortit son épée maintanant démoniaque, mais soudain 3 orks s'arreterent et le fixerent
- Toi! Elfe! Tu vas mourrir!!
- Tiens donc ... Souria Helder
C'est alors qu'il lanca deux rayons noirs de ses yeux qui transpercerent 2 orks, ensuite il sauta à grande hauteur et raterit en plein sur le 3ème l'éclatant de toute part!
- Assez rigoler, attaquons cet apprenti
Helder se fondit dans la masse ...

Deobos avait rejoint les elfes sur la muraille. Les archers tiraient en continu sous les ordres de Halgas et Deobos envoyait des boules de feu pour les aider. Cette aide n'était pas très efficace, car le temps d'invocation d'une boule de feu était relativement long et le sort ne touchait qu'une seule cible, mais au moins, Deobos n'avait pas l'impression d'être inutile. Les orks tentaient d'entrer par deux moyens: certains tentaient d'enfoncer les portes avec un énorme bélier, d'autres se hissaient sur les murs à l'aide d'échelles. Bientôt, les créatures putrides étaient sur les murailles, forçant les archers à abandonner leurs arcs pour se battre à l'épée, et d'autres avaient forcé la porte, permettant ainsi à la troupe de Halgas de charger les arrivants, Halgas lui-même à la tête de son armée.

Personne, donc, ne prêta attention à la silhouette qui s'était glissée par la porte. Personne sauf Deobos, qui sentit la présence de l'être. L'apprenti sorcier descendit les marches sans qu'aucun ork ne tente de lui barrer la route et se retrouva face à face avec un homme encapuchonné de noir, tenant une épée chargée d'énergie maléfique à la main. Deobos ne sentait que le Mal en lui.
- Qui es-tu? demanda le sorcier d'un ton méfiant.
- Helder... répondit l'être en une sorte de râle avant de donner un coup d'épée que Deobos para avec son bâton. Tu dois mourir, sorcier!
Deobos n'eut pas besoin de plus d'explications pour savoir que Helder n’était pas son ami et lui envoya un rayon foudroyant qu’il esquiva avec une facilité déconcertante. Helder éclata de rire et envoya une sphère noirâtre sur Deobos qui esquiva. La sphère réduisit un ork à l’état de cendres.
- Il ne rigole pas… marmonna Deobos.
Le sorcier fit le vide dans son esprit, tendit les mains devant lui et envoya un gigantesque rayon de lumière que Helder évita tout aussi facilement. Et soudain, l’homme en noir disparut. Deobos le chercha du regard, et lorsqu’il s’aperçut que Helder s’était téléporté derrière lui, il était déjà trop tard ; il reçut une boule de feu dans le dos et fut éjecté en avant, son bâton lui échappant des mains.
- Oh, c’est dommage ça ! ricana Helder. Sans ton bâton, tes pouvoirs seront bien moins impressionnants !
Deobos se releva avec difficulté et courut vers son bâton, mais Helder se téléporta devant lui et s’empara de son arme avant lui. Impuissant, l’apprenti sorcier se rua sur Helder qui lui donna un simple coup de poing. Il fallait se rendre à l’évidence ; Helder avait gagné le combat. Mais alors que celui-ci levait son épée pour tuer Deobos, une flèche se planta en plein dans son cœur. Halgas avait déjà encoché une seconde flèche et la pointait droit sur Helder. Ce dernier arracha celle qui s’était plantée dans son cœur, poussa un sifflement suraigu et disparut.
- Il n’a rien senti ! fit Deobos, impressionné. Cet homme n’est pas humain !
- C’était une créature du mal, sans aucun doute, dit Halgas en tuant quelques orks qui traînaient encore dans les murs (les autres avaient fui en voyant qu’ils perdaient le combat).
- Merci, Halgas.
Et Deobos aida les combattants à occire les derniers orks.

- Pourquoi s'en être pris a toi, Deobos ?
- Je ne sais pas, Halgas, mais mon maitre à nombres d'ennemis qui cherchent à l'atteindre.... Ou peut être cherchait t-on à me dérober la fiole...
- Au fait que contient t-elle cette fiole ?
Deobos et Halgas marchait en direction du temple, et sur ses mots, Deobos resta silencieux.
- Pardonne-moi Deobos, ce ne sont pas mes affaires ; Je te pris de m'excuser de ma curiosité, je n'aurai pas du te poser cette question.
- Ce n'est rien, Halgas.
Puis il montèrent jusqu'au temple sans un mot.
- Je dois allez remerçiez les ancêtres pour la victoire, tu peut choisir de venir avec moi ou rester ici à m'attendre.
- Je t'attend, Halgas.
- Je n'en ai pas pour longtemps, dit Halgas avant d'entrer dans le temple.
Après sa prière, il resortit, et fut étonné de ne pas voir Deobos.
- Si tu cherche le sorcier, je l'ai envoyé chez nous, murmura une voix douce dans l'oreille de Halgas. Celui-ci se retourna et pris la femme dans ses bras.
- Lucinda... pourquoi n'est tu pas partit, avec les autres femmes ?
- Mais, Halgas, nous sommes toutes réstés, car nous savions que vous alliez gagnez... c'est pour cela que nous sommes réstés.
- Le magicien, il est en danger...
- Je sais, et chez nous, c'est une cible facile...
- Alors pourquoi l'avoir.... Halgas fut interromput car il sentit une lame s'enfonçer dans le dos. Pourquoi lucinda ? dit-il en tombant par terre. Celle-ci se baissa et déposa un doux baiser à Halgas avant de dire :
- Car le monde d'aujourd'hui n'est plus qu'un souvenir, bientot IL régnera, et nousdevons nous soumettre à lui, ou mourrir... Puis, elle s'éloigna, en direction de sa maison.
- Lucinda... non... Halgas aurait voulou se laisser mourrir, trahis par la femme qu'il aimait ; mais il en était persuadé, elle était sous l'emprise d'un sort, cela se voyais dans ses yeux. Halgas, tend bien que mal, se releva, et se dirigea à son tours vers chez lui, espérant ne pas arriver trop tard pour sauver Deobos. Sur la route, il croisa plusieurs cadavres d'homme, Lucinda n'était donc pas la seule. Halgas, laissa trainer des flots de sang derrière lui, se jura de protéger Deobos et de sauver toutes les femmes elfes, quitte même à aller traquer jusqu'en enfer, l'ignoble monstre qui les avaient possédés.

Doebos se réveilla, on l'avait assomé alors qu'il attendait Halgas. Il ouvrit les yeux et constata qu'il était enchainé sur un siège ainsi que la présence de pleins de femmes elfes ainsi, à sa grande surprise, que celle de Helder!
- Mais ... Halgas t'as tiré une flèche en plein coeur!
- Il en faut beaucoup plus pour me tuer...
- C'est normal qu'il soit résistant à la mort ... Il est mon apprenti ...
Apparut alors un nouvel individu, que Doebos n'avait encore jamais vu. On pouvait distinguer de putrides mains mais pas le reste de son corps recouvert d'une cape à capuchon noire vieille et trouée. Une forte aura négative se dégageait du nouvel arrivant
- Qui êtes vous et que me voulez vous ?
- Nous voulons deux choses! La première, nous nous sommes permis de la prendre pendant que tu faisait dodo, Helder montra la fiole avec un sourire malsaint, la deuxième ...
- ... Je veux savoir où Asiik s'est-il retiré ...
- Je préfère crever que de donner cette information!
Helder se mit à rire, ainsi que le mysterieux individu
- Tu est si jeune et si naïf ... Ton maître ne t'as donc pas appris à connaître son adversaire ...
- Mon maître est le plus honorable des mages!
- Tiens donc ? Si il est si fort tu peux donc nous dire où il se cache! Il n'a rien à craindre de nous, ou peut-être s'est il retiré parce qu'il est peureux!
- CA SUFFIT!!! JE NE VOUS DIRAIS RIEN!!! hurla Doebos plein de rage
- Ca c'est ce que tu dis maintenant ... Nous verrons cela si j'utilise la force ...
- Il serait dommage de t'abimer tu as encore une longue vie devant toi! Se moqua Helder
C'est alors qu'une femme entra, les yeux emplis de haine, "C'est elle qui m'a assomé", se souvint alors Doebos
- J'ai accompli ma mission maître ... Dit Lucinda
- Il est encore en vie idiote! L'insulta Helder
- C ... Comment ? S'exclama Lucinda, surprise
- Tu as failli ... Tu ne mérite plus de vivre pour me servir ... Et ni de vivre tout court ...
Lucinda tombat soudain lourdement, en toussant de plus en plus fort, elle devint alors tres pâle, puis se mit à vomir ses propres poumons, la violente mort de la jeune elfe laissa Doebos aussi dégouté que stupéfait par le pouvoir de l'étrange individu à la cape
- Helder ... Va tuer Halgas ... Et ne me déçoit pas ...
Helder tremblait et ne bougeait plus, tout le monde se demanda ce qui se passait. Celui-ci releva la tête, la larme à l'oeil, et la haine avait quitté son regard
- Doebos! Ne lui dit pas où se trouve Asiik! Sinon nous mourrons tous!
- Tais toi ...
La créature expulsa violemment Helder contre un mur. Celui-ci se releva, les yeux à nouveau emplis de haine
- Je vais accomplir ma mission maître! Sur ces mots il s'en alla
"Je vois, ce n'est qu'un pauvre homme controlé par cet espece de monstre!" pensat Doebos. La créature vint vers lui
- Maintenant passons aux avoeux ...
Doebos était dans de beaux draps ...

Halgas, titubant, traversait la ville pour rejoindre son domicile, mais il s'écroula avant même d'avoir fait la moitié du chemin. Il sentit la douleur disparaitre et lorsqu'il ouvrit les yeux, il était allongé dans l'herbe, la douce chaleur du soleil caresant son visage. Il se releva et apperçut Lucinda qui lui fit un signe et qui, peut à peut, disparue.
- Suis-je mort ? Est-ce ça la mort ? demanda Halgas à haute voix.
- Non, tu n'est pas mort... Du moins pas encore...
Halgas se retourna et apercut un veillard vetu de blanc, un long batons et une cape flottant au vent frappé du blason de l'école se magie.
- Asiik... Murmura Halgas en s'agenouillant. Le magicien se rapprocha et le fit se relever.
- Ne vous inclinez devant personne, même pas devant moi... Ce sont les autres qui vous doivent le respect, non l'inverse.
- Asiik, vous êtes un maitre des arcanes, ce combat ne vous concerne pas...
- Ce combat concerne tout le monde, que vous le vouliez ou non... La voix ferme mais douce du grand sorcier rassurait Halgas qui osa poser une question :
- Allez vous m'aidez ?
- Vous aider ? Oui... Mais chaque action à un cout... Le magicien se détourna et regarda au loin. Un océan s'étendait à perte de vue au pied de la falaise sur laquelle ils étaient.
- Que fais-je ici maitre ?
- Je vais t'aider, mais sache que le prix de cette aide sera lourd... Chaque bonne action doit être compenssé par une mauvaise, pour que l'equilibre soit gardé.
- Mais le mal l'emporte...
- Ne soit pas si atif... Depuis 123ans tu protège ton peuple, et quelque chose me dit que tu le protégera encore longtemps.
- Est ce pour cela que je suis ici, pour vous écouter me prédir un avenir qui n'aura pas lieu si je reste ? Halgas s'étonna lui même du ton qu'il prennait.
- Non. Tu doit sauver mon apprenti. Vous êtes déstinés à faire de grandes choses.
- Nous ?
- Oui. Tu en connai déjà plusieurs, et le dernier arrivera très bientot. Tu dois y aller maintenant. Prend ceci.. Sur ces mot, Asiik sortit une fiole de sa manche et la posa dans la main de Halgas.
- Qu'est ce ?
- L'instrument qui te permettra de sauver l'un des tiens. Maintenant, tu dois partir.
Halgas ouvrit les yeux ; il était allongé dans la rue et n'avait pour mal ; il porta la main à son dos et constata que sa blessure avait disparut ; il constata également qu'il tenait en main la fiole.
- Merci Asiik... Un vent frais vit soudain balayer la rue ou se trouvait Halgas, signe que le magicien avait bien reçu ses remerciements.
- Pourquoi remerçier un vieux fou qui se cache et qui n'a que faire des comflit de cette terre... Halgas tourna la tête et apperçut Helder, le regard noir.
- Tu est un elfe n'est ce pas ? Demanda Halgas
- Autrefois oui. Helder baisai la tête et une larme tomba au sol. Mais maintenant je suis au service de mon maitre. Un autre vent frais ballaya la rue et la voix de Asiik résonna dans la tête de Halgas :
- L'instrument qui te permettra de sauver l'un des tiens.
- Tu n'est pas obligé de lui obéir...
- Je n'ai pas le chois ! Hurla Helder
- Ou est Deobos ?
- En ce moment, il doit être pas loin de l'enfer... Tu vas d'ailleurs le rejoindre... Sur ses mots, Helder dégéna son épée...

Halgas et Helder se fixaient, l'un voulant sauver l'un des siens, l'autre voulant tuer l'un des siens.
- je ne sais qui est ton maître, mais en tout cas il y a forcément un moyen de te dépétrir de son envoutement.
- je suis condamné à lui obéir pour l'éternité ... Une éternité d'ailleurs que tu connaitra pas!
Helder se téléporta derrière Halgas et lui asséni un violent coup d'épée dans le dos, Halgas s'éloigna, "L'instrument qui te permettra de sauver l'un des tiens".
- Je dois y arriver!
Helder sauta à plus de 10 mètres et se jeta sur son adversaire, Halgas resta immobile puis esquiva au dernier moment, Helder s'effondra sur le sol!
- C'est le moment!
Halgas lanca la fiole en plein sur le visage de Helder, c'est alors qu'il lacha son épée et se mit à hurler en tenant sa joue ensanglantée, la douleur était terrible,mais on pouvait voir peu à peu s'échapper un nuage noir au dessus de Helder, au bout de quelques secondes ce nuage pris la forme d'un oiseau noir et disparut à l'horizon, Helder s'écroula lourdement sur le sol. Halgas courrut voir son état, il ne respirait plus! Halgas le secoua paniqué, c'est alors qu'Helder se mit à tousser fortement, "il est en vie!" pensa Halgas. Helder se leva finalement, et regarda Halgas, ébété:
- La ... La ...
- La quoi ?! Ca va ?! demanda Halgas, tu te sens bien ?!
- ... La douleur! Elle a disparue! Je ne le sens plus! Ce sang noir a quitté mes veines! Je ne te remercierais jamais assez!
- C'est plutôt Asiik qu'il faut remercier! Moi je n'ai fait que t'envoyer cette fiole! C'est alors qu'Halgas prit un ton grave, bon on a plus le temps pour les remerciements, conduis moi vers Doebos!
- Ah! Oui c'est vrai! Il faut l'aider!
Helder ramassa son épée et les deux elfes se mirent à courir vers le lieu de séquestration de Doebos
- Au fait, je me demandais,n'aurais tu pas vu une elfe brune assez mignonne avec une chemise ensanglantée?
- Tu parles de cette elfe du nom de Lucinda c'est ça ? Tu la connais ?
- Oui c'est ma femme, qu'est-ce qu'il lui est arrivé ?!
- ... Il l'a tuée .... Je suis désolé!
On vit alors des larmes couler sur les joues d'Halgas
- Je ne sais pas qui est ce monstre mais je jure que j'aurais sa peau!
- Ca ça m'étonnerai ...
- Quoi ?! Il est si fort ?!
- Non mais j'ai juré bien avant toi de le tuer de mes mains!
Les hommes arriverent devant la maison ...

La vue de Deobos s'était troublée. Le temps semblait s'être ralenti. La douleur était telle que l'apprenti sorcier s'étonnait de ne pas avoir encore sombré dans l'inconscience. Ses bras étaient en effet couverts de marques rouges, comme s'il avait été taillaidé avec une férocité rare à l'aide d'un couteau particulièrement pointu. Ses jambes étaient dans le même état, et Deobos perdait beaucoup de sang.
- Où est... Asiik... reprit la créature au capuchon.
- Je ne... trahirai jamais mon maître, répondit Deobos.
- Misérable vermine! Tu vas me dire où se trouve ton maître!
- Plutôt mourir...
- Non... Je ne vais pas te tuer... Ce serait trop facile... Je préfère te faire souffrir. Tu finiras par parler...
- Si je n'y arrive pas, quelqu'un finira bien par te terrasser!
Le tortionnaire éclata soudain d'un rire particulièrement froid.
- Me... Terrasser? Et comment comptes-tu t'y prendre?
A ce moment-là, la porte s'ouvrit à la volée et Helder et Halgas firent irruption dans la pièce. La créature se désintéressa momentanément de Deobos pour regarder les nouveaux arrivants, puis elle relacha totalement la pression et le jeune sorcier retomba lourdement sur le sol.
- Helder... fit l'être maléfique. Tu as failli, toi aussi... Accomplis ta mission!
Une main blanchâtre et squelettique jaillit soudain de sous la cape en direction de Helder qui se plaqua les mains contre les oreilles. Deobos profita de ce moment d'hypnose pour appeler Halgas qui s'approcha du sorcier sans problème - d'ailleurs, pourquoi la créature ne leur prêtait-elle guère attention?
- Prends cette fiole, marmonna Deobos en sortant un petit récipient de cristal, et jette-là sur lui...
Halgas ne réfléchit pas un seul instant et exécuta les ordres de Deobos à la lettre. La créature émit un hurlement suraigu tout en émettant une aura aveuglante.
- Il faut sortir d'ici, dit Deobos. Aide-moi, l'élixir ne le retiendra pas longtemps...
Halgas passa un bras du sorcier par-dessus son épaule et l'aida à se lever. Helder, qui ne comprenait pas ce qui se passait, les aida à fuir.
- C'était quoi, cette chose lumineuse? fit Helder.
- C'était ce qu'on appelle un Elixir de Pureté. Je devais en faire don aux elfes mais...
- De l'Elixir de Pureté? Qu'est-ce que c'est?
- Une essence particulièrement rare qui a pour effet de détruire le Mal à la racine... Mais j'ai agi sans réfléchir... Je n'aurais pas dû en faire un usage personnel...
- Et cet elixir... est-il assez puissant pour vaincre cette créature?
- Je ne crois pas, mais ça va la retenir pendant quelques minutes. Je dois retrouver maître Asiik... Il faut que je lui explique la situation...
- Nous venons avec toi.
- Merci, mais bien que blessé, je ne puis accepter. C'est mon maître que la créature recherche. Si je fuis, elle me suivra et laissera votre village tranquille... Ne vous en faites pas pour moi. Merci pour tout.
Mais Deobos n'avait jamais étudié sérieusement la magie curative, et sa fuite fut courte, car il s'écroula à peine arrivé devant les portes de la ville, à bout de force.

Halgas et Helder étaient déjà bien loin de la cité elfe lorsqu'a midi, il s'arrétèrent près d'une rivière. Le bruit de l'eau coulant entre les rochers était rassurant aux oreilles du capitaine elfe, qui montait la garde pendant qu'Helder se reposait. Les trois chevaux étaient en train de s'abrevait dans la rivière, lorsqu'un d'eux relevat brusquement la tête, regardat autour de lui pis se remis a boire. Halgas réveillat sillencieusement Helder :
- Nous ne sommes pas seul...
- En effet, répondit Helder en voyant plusieurs dizaines d'oiseaux s'envoler.
- Halgas... Grogna Deobos
- Silence mon ami... Sur ses mots, Halgas couvrit Deobos de branchages et le fit ainsi se fondre dans le décors. Helder, lui, s'empara des arcs et en lançat un à Halgas, tout deux se préparèent en un silence presque total.
- Ou est ce qu'ils sont, s'impatienta Helder. Sur ses mots, les deux elfes décochèrent leurs flèches en même temps, tout deux touchèrent la même cible, qui continua d'avançer.
- Les épées, ordonna Halgas. Tout deux dègainèrent et s'élençèrent vers leurs adversaires.
- Qu'est ce que c'est que ça ?! Demanda Helder en continuant d'avançer, tuant quelques squelettes au passage.
- Des anciens combattants. Ils sont mort et n'ont jamais était entéréré avec honneur. Expliqua Halgas en tuant les deux derniers. Le magicien noir a du utiliser la haine qu'il ont pour détérer leurs ossements et les utiliser à ses fins.
- Et maintenant ?
- On cherche un endroit ou soigner Deobos.

- Halgas, ne me conduit pas à mon maitre... Murmura Deobos dans son sommeil
- Il est en train de rêver, dit Helder en mettant sa main sur le front du jeune magicien.
- Un rêve bien étrange, murmura Halgas à lui même, assis au coin du feu.
Après plusieurs heures de voyages silencieux, ils avaient décidé de stopper dans une auberge ou ils avaient loué une chambre.
- Nous ne pouvons partir à l'aube, dit soudain Helder après un long silence, assis au cotés de Halgas. Ni même avant plusieurs jours, reprit t-il.
- Je le sait...
Tous deux regardèrent Deobos en nage, étendu sur le lit, crachant de temps en temps un immonde liquide noir qui s'évaporait instantanement.
- Il le combat, n'est ce pas...
- Il a fait la même chose avec toi, il t'as controlé... Il essaye de faire de même avec Deobos... Heureusement pour lui, il n'a pas été suffisament longtemps sous son emprise pour que les forces maléfiques prennent tout controle sur lui.
- Il est intelligent et fort d'esprit, il s'en sortira...
- Je l'éspère... Mais, Dis moi Halgas, comment se fait-til que tu en sache autant sur les pouvoirs de ce malin ?
- Parce que... Parce que c'est moi qui l'est libéré... Murmura Halgas, une larme coulant sur sa joue.